Introduction

Depuis une dizaine d’années, on constate un intérêt croissant pour le confort dans les habitations. Il suffit pour s’en convaincre de parcourir les titres de quelques revues récentes.[1]

Une autre préoccupation également très actuelle est celle de l’environnement et de l’énergie dans le bâtiment, engouement également attesté par de nombreux articles dans les quotidiens ou les revues d’architecture.[2] Le succès de la journée de l’énergie ou des salons de la construction tel que Bois et Habitat témoigne également de l’intérêt des Belges sur la question.

La maison passive est donc un sujet d’une particulière actualité puisqu’elle synthétise ces deux tendances : confort et efficacité énergétique.

Ce concept a maintenant dépassé le stade de l’expérimentation : il est accessible et applicable. En Belgique, les initiatives restent timides et peu nombreuses mais le grand public commence à être informé à travers quelques articles de presse.[3]




[1]“confort”, A+ n°187;

“confort”, werk, bauen + wohnen, mars 2003;

Pezeu-Massabuau, Jacques, Confort domestique et confort urbain , revue urbanisme 331, 2003

[2]Rubriques “construction durable” dans la revue A+ ;

Techniques et architecture, “actes et environnement”, avril 2003 ;

[3]Dossier énergie: économie d’énergie dans la construction d’habitations, Livios.be, 2004 ;

Dossier : la maison passive, Valériane n°47, Nature et Progrès, Jambes, 2004 ;

Matriche, Joël, Se chauffer sans chauffage: La maison passive, Le Soir, 16/10/2003 ;

Prignot, Isabelle, Peut-on se passer de chauffage?, Renouvelle n°4, 2003 ;

Mayeres, Janine, Vivre sans chauffage, Le Ligueur, 01/06/2003 ;

Veter, Caroline, Vivre sans chauffage, utopie ou réalité?, Greenpeace Magazine, printemps 2003 ;

L’avenir du chauffage : sa disparition? , chaud – froid – plomberie, novembre 2002.

-> Pour une revue des articles de presse flamande consultez le site web www.passsiefhuisplatform.be



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